Le Gardasil est un vaccin destiné à prévenir le cancer de l’utérus, administré aux jeunes filles dès l’âge de 9 ans. Il provoque des effets indésirables graves (maladies auto immunes, paralysie…). En France, une centaine de décès y seraient liés et son efficacité médicale reste à prouver.
Au Rwanda, plus de 100.000 jeunes filles rwandaises, dont l’âge tourne autour de 12 ans et qui sont en 6è année de l’école primaire, ont déjà reçu, contre leur gré, ce vaccin dans des centres scolaires mêmes à partir d’avril 2011. La vaccination a été renouvelée comme l’exige le protocole d’administration du vaccin.
Derrière cette campagne massive de vaccination inédite, – le Rwanda a été le premier pays africain à administrer ce vaccin à grande échelle sur sa population – se cache une affaire de gros sous. Le géant pharmaceutique Merck a offert gratuitement au Rwanda 2 millions de doses de Gardasil, un vaccin sensé lutter contre le cancer du col utérin, mais dont les effets indésirables sont encore loin d’être suffisamment maîtrisés. Merck a donc besoin de mener des études pour perfectionner son médicament. Et si les 100.000 jeunes filles avaient servi de cobayes à ce laboratoire?
Gageons que Merck suit régulièrement ces jeunes filles, et d’ici quelques années, elle va finaliser ses études et rectifier le tir car le vaccin est mananifestement mis à mal, même dans les pays développés.
Visionnez cette vidéo pour vous en convaincre.
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